« De garde aux urgences gynécologiques, j’ai du perfuser, rassurer, brancarder seule ma patiente vers les urgences vitales car le senior était au bloc et qu’il n’y a pas d’infirmière aux urgences gynécologiques, faute de moyens. Ma patiente était en choc hémorragique. »
Interne de 2ème semestre en médecine générale, en Côtes d’Armor.
HÔPITAL EN PRÉCARITÉ : PATIENTS EN DANGER